Recherche

14/09/2018

Formation Microsoft PowerPoint

45 Pages Pour comprendre facilement le fonctionnement de PowerPoint

Extrait du document:

digiSchool commerce met gratuitement à votre disposition ce book de formation au logiciel de présentation PowerPoint de 45 pages.
Maîtriser cet outil est aujourd'hui devenu indispensable pour toute entreprise. Ce document vous permettra de comprendre facilement le fonctionnement de ce logiciel. Retrouvez les explications détaillées des fonctionalités, des schémas et illustrations pour bien utiliser PowerPoint.
Diapositives, masques, création de présentation, fonctions avancées... tout est détaillé afin de vous accompagner dans l'utilisation de cet outil.

Plan du document:

I. Présentation
II. L'interface
III. Créer son PowerPoint

1) Les diapositives
2) Les objets PowerPoint
3) Les options de dessin
4) Pied de page
5) Mise en page
6) Manipuler les diapositives
IV. Maîtriser les masques

1) Créer un masque
2) Créer de nouvelles diapositives
3) Modèle de conception pour présentation
V. Communiquer avec une présentation

1) Imprimer son PowerPoint
2) Créer un diaporama
VI. Fonctions avancées

1) Intégrer un tableau
2) Intégrer un graphique
3) Utiliser un diagramme
4) Utiliser d'autres objets PowerPoint
VII. Enregistrer sa présentation

Téléchargement:



Attendez 20 sec

Continuer la lecture

06/07/2018


Analyse des études géotechniques et vérifications du dimensionnement du château d’eau et de la bâche de stockage 

Donatien Benoît BINGUIMATCH




Plan du document

INTRODUCTION
CHAPITRE I: PRESENTATION DU CADRE DE L’ETUDE
I. Contexte de l’étude
II. Problématique
III. Objectif de l’étude
1. Objectif général
2. Objectifs spécifiques
IV. Méthodologie
V. Résultats attendus
CHAPITRE II: GENERALITE
I. Présentation de la structure d’accueil
1. Présentation générale
3. Situation géographique du siège de l’entreprise
4. Organisation et le personnel
II. Présentation de la localité du projet
Continuer la lecture

03/07/2018


Traitement de l'eau II 

Dr. BESSEDIK Madani

Traitement de l'eau II Dr. BESSEDIK Madani


Plan du document

Chapitre I Traitement de l’eau brute pour la rendre potable
Chapitre II Critères généraux pour les installations de traitement
Chapitre III Stabilisation et contrôle de la corrosion
Chapitre IV Instrumentation et contrôles
Conclusion Générale
Continuer la lecture

02/07/2018



MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
UNIVERSITE FERHAT ABBAS-SETIF

MEMOIRE
Présenté à l’Institut d’Optique et de Mécanique de Précision
Pour l’Obtention du Diplôme de MAGISTER
Option : Optique appliquée
Par LAZHAR GRAINI

Continuer la lecture

07/06/2018


Boues de Station d’Epuration: Techniques de traitement, Valorisation et Elimination

Boues de Station d’Epuration: Techniques de traitement, Valorisation et Elimination

Plan du document

INTRODUCTION

I GISEMENT, ORIGINE ET COMPOSITION DE BOUES DE STATION D’EPURATION URBAINE
    1 Gisement
    2 Origine des boues
    3 Composition des boues

II PROCÉDÉS DE TRAITEMENT DES BOUES SUR STEP
    1 Epaississement
        1.1 Epaississement gravitaire : la décantation (ou sédimentation)
        1.2 Epaississement dynamique
    2 Déshydratation et conditionnement
        2.1 Les filtres-presses
        2.2 La centrifugeuse
        2.3 Autres procédés
    3 Séchage
        3.1 Lit de séchage
        3.2 Séchage thermique
    4 Stabilisation et hygiénisation
        4.1 Les voies biologiques
        4.2 Les voies chimiques
        4.3 Les voies physiques : SAT (stabilisation aérobie thermophile)
    5 Synthèse des procédés de traitement sur STEP

III VALORISATION ET ELIMINATION
    1 Principales filières
        1.1 Valorisation organique
        1.2 Valorisation énergétique
        1.3 Stockage en ISDND
    2 Solutions alternatives
        2.1 L'oxydation par voie humide (OVH)
        2.2 La co-combustion en cimenterie
        2.3 La pyrolyse ou thermolyse
        2.4 La technique mycélienne
        2.5 La gazéification

PERSPECTIVES
CONCLUSION

Extrait du document

INTRODUCTION
En France, une famille de quatre personnes consomme en moyenne 150m3 d’eau par an1 . L’eau usée contient divers polluants organiques et biologiques. Le rejet des eaux usées directement dans la nature ou après un traitement insuffisant peut donc avoir impact négatif sur l’environnement et potentiellement sur les hommes. D’où l’importance du traitement des eaux usées et de ses sous-produits. En France, la majorité des eaux usées sont traitées par des techniques biologiques, qui utilisent des bactéries présentes naturellement dans l’eau. Ces bactéries sont placées dans des conditions aérobies particulières afin d’entretenir leur consommation en azote, en carbone et en phosphore contenus dans les eaux usées. Il existe deux types de boues : les boues urbaines, résidus de l'épuration des eaux usées domestiques et les boues industrielles produites par les unités de traitement des eaux industrielles. La composition des boues urbaines dépend du type de traitement des eaux usées de la station dont elles sont issues et de la présence éventuelle d’effluents industriels. Elles possèdent néanmoins des caractéristiques communes : elles contiennent toutes de l’azote, du phosphore et de la matière organique. Elles peuvent aussi contenir des substances indésirables telles que des Eléments Traces Métalliques (ETM), des Composés Traces Organiques (CTO), des micro-organismes pathogènes et des composés pharmaceutiques. Les boues industrielles sont beaucoup plus hétérogènes et dépendent du type d’industrie dont elles proviennent. Les usines de recyclage de papier produisent par exemple des boues constituées de cendres de fibres cellulosiques, d’amidon et de pigments synthétiques ainsi que des boues de désencrage de composition spécifique. Il faut donc adapter le traitement des boues sur STEP en fonction de leurs caractéristiques (quantité, composition, pH, humidité) et du mode d'élimination ou de valorisation choisi. Les conditions économiques locales du moment (débouchés pour les produits, exutoire pour les résidus ultimes) doivent également être prises en compte. Le présent document ne s’intéressera qu’aux boues de stations d’épuration urbaines, dont les collectivités sont responsables. Il présente les différentes étapes et technologies de traitement des boues ainsi que les conditions de valorisation ou d’élimination.

I GISEMENT, ORIGINE ET COMPOSITION DE BOUES DE STATION D’EPURATION URBAINE 
1 Gisement 
En 2006, environ 10 millions de tonnes de Matière Sèche (tMS) de boues d’épuration ont été produites dans l’Union Européenne2 , dont 8,7 millions de tonnes dans l’UE-15 et environ 1,2 millions de tonnes pour les 12 nouveaux États membres. La quantité de boues produites (en MS) a presque doublé par rapport à 1992 (5,5 millions tonne MS) en raison de l’augmentation de la population et de l’amélioration des procédés d’épuration des eaux usées. En 2011, la Base de Données Eaux Résiduaires Urbaines (BDERU) a recensé en France 19 300 stations de traitement des eaux usées qui traitent une charge de pollution de 76 millions d’Équivalents Habitants (EH) provenant de 19 200 agglomérations d'assainissement3 . Moins de 7% de ces stations ont une capacité égale ou supérieure à 10 000 EH et traitent plus de 80% de la charge polluante alors que près du quart des stations ont une capacité inférieure à 200 EH. La quantité de boues produites est d’environ 1,1 million de tonnes de matière sèche (tMS) en France en 2010. 43% de ces boues sont épandues, 33% sont valorisées en compostage, 18% sont incinérées et 4% sont envoyées dans les Installations de Stockage de Déchets Non Dangereux (ISDND) (Figure 1). En effet, il existe 154 installations de compostage et 27 usines d’incinération qui reçoivent des boues pour les valoriser avec d’autres déchets 4
...

Téléchargement du PDF




Attendez 30 sec

Continuer la lecture

06/06/2018

GUIDE PRATIQUE POUR LES ESSAIS DE POMPAGE DE PUITS

Revue Technique



GUIDE PRATIQUE POUR LES ESSAIS DE POMPAGE DE PUITS



Extrait du document

...
Introduction
L’essai à débit constant est l’essai de pompage le plus couramment pratiqué, et son concept est très simple : on effectue des pompages à débit constant sur une longue durée (de plusieurs heures à plusieurs jours, voire plusieurs semaines) en observant les niveaux d’eau et les débits de pompage. Pour que ces essais à débit constant aient une utilité maximale, il faudrait mesurer les niveaux d’eau à la fois dans un forage d’observation et dans le forage de pompage (ou mieux encore, dans plusieurs forages d’observation situés à des distances différentes du forage de pompage). Comme c’est rarement possible dans les régions où travaille le CICR, le présent guide se concentre sur l’exploitation des données obtenues uniquement dans le puits de pompage. L’analyse des données des essais à débit constant permet de déduire la transmissivité de l’aquifère. Le coefficient d’emmagasinement de l’aquifère ne peut être calculé que si l’on dispose de données provenant de forages d’observation, ce qui n’est pas envisagé ici.

Équipement et limites 
Pour effectuer un essai à débit constant, l’équipement suivant est nécessaire :
> une pompe motorisée complète avec alimentation, colonne de refoulement, vannes et conduites d’évacuation. Il faut accorder une grande attention au système d’évacuation lors des essais à débit constant, surtout si l’essai doit durer plusieurs jours. Assurez-vous que l’eau ne va pas revenir dans le forage ou causer des ennuis en s’accumulant ou en s’écoulant à un endroit inapproprié. La meilleure solution consiste habituellement à l’évacuer dans un canal à écoulement naturel à une certaine distance du forage.
> Un chronomètre pour mesurer le temps de pompage et de remontée.
> Une sonde piézométrique pour mesurer les niveaux d’eau. Un capteur avec enregistrement de données serait très utile, si c’est possible, car il continue à collecter des données lorsque les collaborateurs chargés des sondages manuels se reposent.
> Une méthode pour mesurer le débit de pompage (seau et chronomètre, débitmètre, ou déversoir).
> Un carnet, ou un formulaire standard, et un crayon pour consigner les données des essais.
> Du papier millimétré semi-logarithmique et une règle pour reporter les résultats.
...

Plan du document (Sommaire)


TABLE DES MATIÈRES

1. INTRODUCTION
    Cadre général
    But
    Limites des essais de pompage
    Terminologie et lectures

2. NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ESSAIS DE POMPAGE
    Qu’est-ce qu’un essai de pompage ?
    Pourquoi réaliser un essai de pompage
    Principaux types d’essais de pompage

3. PRÉPARATIFS DE L’ESSAI DE POMPAGE
    Introduction
    Équipement d’observation de base
    Autre équipement disponible
    Récolte d’informations
    Hygiène et eau
    Surveillance de la qualité de l’eau

4. ESSAI PAR PALIERS
    Introduction
    Équipement et limites
    Déroulement de l’essai par paliers
    Analyse et interprétation

6 GUIDE PRATIQUE POUR LES ESSAIS DE POMPAGE DE PUITS

5. ESSAI À DÉBIT CONSTANT
    Introduction
    Équipement et limites
    Déroulement de l’essai à débit constant
    Analyse et interprétation

6. ESSAI DE REMONTÉE
    Introduction
    Équipement et limites
    Déroulement de l’essai de remontée
    Analyse et interprétation
    Essai de puisage

7. COMMENTAIRES FINAUX
    Puits de grand diamètre
    Choix de l’essai de pompage
    Gestion des entrepreneurs
    Erreurs courantes
    Suivi à long terme


Téléchargement



Attendez 30 sec

Continuer la lecture

04/06/2018

105 Rapports de stage (MAROC)


Aperçu sur le dossier

Télécharger rapport de stage


Rapport de Stage Assurance axa.doc
Rapport de Stage Assurance wafa assurance.doc
Rapport de Stage ASSURANCES ET CONSEILS BAROUTI (ASCOBA) SARL.pdf
Rapport de Stage Banque Attijari Wafa Bank R2.pdf
Rapport de Stage Banque Attijari Wafa Bank.pdf
Rapport de Stage Banque Crédit du Maroc IGA.pdf
Rapport de Stage Banque Populaire.pdf
Rapport de Stage BMCI.pdf
Rapport de stage Cabinet Comptable.doc
Rapport de Stage Consultant.pdf
Rapport de Stage Dolidol.doc
Rapport de stage ESG Agence de voyage.doc
Rapport de Stage Fiduciaire.pdf
Rapport de Stage Fudicaire Infofisca.pdf
Rapport de Stage Fudicaire Mesmoudi.pdf
Rapport de stage Fudicaire Ofppt.pdf
Rapport de stage Fudicaire.doc
Rapport de Stage Kitea.doc
Rapport de Stage lODEP.pdf
Rapport de Stage Marsa Maroc ENCGO.pdf
Rapport de Stage Marsa Maroc.pdf
Rapport de stage ONEE.doc
Rapport de Stage ONEE.pdf
Rapport de Stage RAM 1.pdf
Rapport de Stage RAM.pdf
Rapport de Stage RENAULT.docx
Rapport de Stage Shenid Electriqu.pdf
Rapport de stage Ste ASFISCO.doc
Rapport de stage Thali Consulting.pdf
Rapport de Stage Total Maroc.pdf
Rapport de Stage Trésorerie Générale.pdf
Rapport de Stage vétérine.pdf
Rapport de stage.rar
Approche Théorique de laudit interne.pdf
Gestion des risques bancaires cas BMCE Maroc.docx
Lalégis de Travail.pdf
Theorie et pratique de l_audit interne.pdf

Téléchargement:




Attendez 29 sec

Continuer la lecture


Exemples des examens du diplôme d'études en langue française


DELF DALF


DELF - DALF

Le ministère de l'éducation nationale française propose une large gamme de certifications en français langue étrangère (diplômes et tests) pour valider les compétences en français, depuis les premiers apprentissages jusqu’aux niveaux les plus avancés.
L’offre est adaptée à tous les âges et tous les publics. Elle est harmonisée sur l’échelle à 6 niveaux du Cadre européen commun de référence pour les langues.

Les diplômes (DILF, DELF, DALF) sont indépendants et sanctionnent la maîtrise des quatre compétences langagières. Ils sont valables sans limitation de durée.
Validées par une équipe de psychométriciens experts en évaluation, ces certifications sont internationalement reconnues et fréquemment utilisées par les ministères étrangers en charge de l’éducation. Elles sont présentes dans plus de 1 200 centres d’examen répartis dans 175 pays.

DELF DALF


Diplôme d'études en langue française
Public : adultes

Niveaux évalués : A1 à B2
Diplôme d'études en langue française
Public : enfants scolarisés au niveau de l'enseignement (7 à 12 ans)
Niveaux évalués : A1.1, A1, A2


Diplôme d'études en langue française
Public : adolescents dans l'enseignement scolaire (12 à 17 ans)
Niveaux évalués : A1 à B2


Diplôme d'études en langue française
Public : adolescents dans l'enseignement scolaire (12 à 17 ans)
Niveaux évalués : A1 à B2


Diplôme d'études en langue française "option professionnelle"
Public : personnes ayant pour objectif une insertion ou une promotion professionnelle en France ou en milieu francophone
Niveaux évalués : A1 à B2


Diplôme approfondi de langue française
Public : adultes en situation universitaire ou professionnelle - tout public
Niveaux évalués : C1 et C2


Téléchargement des exemples des examens


Pour les gens qui préparent ou qui veulent préparer le #DELF_DALF tout public (tous les niveaux), voici un dossier à télécharger qui contient des exemples des examens avec les 4 volets (Production écrit et oral, Compréhension écrit et oral) ..


Attendez 30 sec

Continuer la lecture

28/05/2018

Conception d’une station de traitement des eaux usées dans une commune rurale

Analyse, choix et réalisation de la méthode la plus appropriée à la commune et aux milieux aquatiques

CHEVALIER, Gary
GAE3 – 2014 – 2015
Tuteur : BACCHI, Michel

Conception d’une station de traitement des eaux usées dans une commune rurale


Extrait du document

...
Les disques biologiques ont globalement des capacités d’épuration des matières organiques acceptables mais faibles pour les nutriments (phosphore et azote). Comme les disques sont couverts, ils ont une bonne adaptation aux climats froids.
Le coût d’exploitation est plus faible que les boues activées car la consommation énergétique est modérée et la gestion des boues est également moins compliquée car les boues sont bien épaissies dans le décanteur.
Mais cette méthode demande aussi un personnel d’exploitation qualifié et il y a peu de référence en France dans la gamme des petites stations de traitement des eaux usées. C’est en effet une méthode très peu utilisée en milieu rural.

Les filtres plantés de roseaux ont de très bonne capacité d’épuration pour les matières organiques et ainsi un impact très faible sur le milieu récepteur.
C’est une méthode fiable qui a un coût d’exploitation très réduit du fait que l’entretien consiste à couper les roseaux annuellement et à évacuer tous les dix ans des boues déshydratées (assimilables à un compost). De plus, certains systèmes fonctionnent sans électricité et, lorsque l’électrique est indispensable, les consommations sont très faibles.
Cette méthode s’intègre parfaitement dans le paysage car il est comparable à des zones humides.
La méthode des filtres plantés de roseaux a ses limites. En effet, elle est inadaptée pour les grandes collectivités car elle demande une grande emprise aux sols et elle a un faible abattement du phosphore.
...

Plan du document (Sommaire)


Introduction
Partie I : État initial du terrain d’étude
  1- Présentation de la commune de Bagneaux
  2- La gestion de l’eau au sein de la commune
  3- Les contraintes du site
Partie II : Le traitement des eaux usées pour la commune de Bagneaux.
  1- Études des méthodes de traitement des eaux usées
  2- Choix de la méthode retenue pour la commune de Bagneaux
Partie III : La conception de la station de traitement des eaux usées
  1- Réalisation d’une station à filtre plantée de roseaux
  2- Étude financière
Conclusion
Bibliographie
Index des sigles
Annexes

Télécharger le PDF



Attendez 30 sec

Continuer la lecture

23/05/2018

Hydrologie Et Hydraulique Urbaine en Réseau d'Assainissement 2013 PDF

Formation d'ingénieur



Extrait du document


1 PRINCIPES GENERAUX D’UN PROJET D’ASSAINISSEMENT
1.1 LES NIVEAUX DE SERVICE ET PERIODES DE RETOUR

Depuis la décentralisation de 1982, le choix d’un niveau de protection relève de la
responsabilité des collectivités, donc des maires ou présidents d'EPCI
(Etablissement Public de Coopération Intercommunale). Il s’agit pour les élus de
trouver un optimum technico-politico-financier qui concilie un coût des ouvrages
supportable et un niveau de protection techniquement et politiquement suffisant.

L’habitude a été prise dans le passé, et notamment par les services de
l’Administration, de dimensionner les ouvrages pluviaux pour une période de retour
de 10 ans, même si l’instruction technique de 1977 suggérait de se limiter à 2 ou 5
ans pour les zones amont et d’aller jusqu’à 20 ou 50 ans pour les quartiers aval très
urbanisés et sans relief.

La norme européenne NF EN 752 propose de dimensionner les ouvrages pour limiter
les fréquences d’inondation de la manière suivante :
 Zones rurales : 1 tous les 10 ans
 Zones résidentielles : 1 tous les 20 ans
 Centres villes, Zones industrielles ou commerciales : 1 tous les 30 ans
 Passages souterrains routiers ou ferrés : 1 tous les 50 ans

Elles sont données à titre indicatif pour orienter les maîtres d'ouvrages les plus
démunis.
Cependant, le maître d’ouvrage, éventuellement à la demande du service instructeur,
a toute latitude pour édicter ses propres règles, adaptées au contexte, aux enjeux et
aux moyens de la collectivité. L'approche actuellement préconisée pour la conception
et la gestion des systèmes d'assainissement, repose notamment sur les principes
suivants :
 envisager le fonctionnement des ouvrages pour tous les types d'évènements pluvieux : faibles, moyens, forts, très forts.
 utiliser les techniques d’évacuation, mais également de rétention, ralentissement et infiltration (dites « alternatives ») de façon à disposer d'un système modulaire présentant plusieurs modes de fonctionnement adaptés à ces différents évènements,
 aménager l’espace urbain pour supporter à moindre mal les défaillances des ouvrages.

Plan du document (Sommaire)


1 PRINCIPES GENERAUX D’UN PROJET D’ASSAINISSEMENT
1.1 LES NIVEAUX DE SERVICE ET PERIODES DE RETOUR
1.2 DUREE D’UTILISATION DES OUVRAGES
2 CONCEPTION DES RESEAUX D’ASSAINISSEMENT
2.1 A L’AMONT DES BRANCHEMENTS
2.1.1 Broyeurs d'évier
2.1.2 Boîtes à graisses, déshuileurs
2.1.3 Protection contre les refoulements
2.2 LES BRANCHEMENTS
2.2.1 Raccordement de la canalisation de branchement
2.3 LES BOUCHES D'EGOUTS
2.4 DISPOSITIFS D’ENGOUFFREMENT (AVALOIRS)
2.5 ACCES AUX CANALISATIONS : LES REGARDS ET BOITES
2.5.1 Types d’ouvrages et conditions d’accès aux canalisations
2.5.2 Fonctions des ouvrages
2.5.3 Constitution des ouvrages d’accès
2.5.4 Implantation des ouvrages d’accès
2.5.5 Accès aux collecteurs visitables
2.6 LES COLLECTEURS
2.7 LES DEVERSOIRS
2.7.1 Définitions et objectifs
2.7.2 Configurations et typologies
2.7.3 Conclusion
2.8 LES OUVRAGES DE STOCKAGES
2.8.1 Cas des bassins de retenue d'eau pluviale : protection contre l'inondation
2.8.2 Cas des bassins de dépollution : protection du milieu naturel
2.8.3 Fonctionnement mixte
2.8.4 Combinaisons entre déversoirs d'orage et ouvrage de stockage
2.8.5 Les dispositifs de curage
2.9 LES STATIONS DE POMPAGES
2.9.1 Définition des besoins
2.9.2 Conception
2.9.3 Prise en compte des phénomènes en régime transitoire (les coups de bélier)
2.10 LIMITEUR, REGULATEUR DE DEBIT
2.10.1 Objectifs
2.10.2 conception
2.10.3 Principe des dispositifs couramment utilisés
2.11 RESERVOIRS DE CHASSE
2.12 REGARDS DE CHUTE
2.13 LES DECANTEURS
2.14 LES TECHNIQUES ALTERNATIVES
2.14.1 Toiture réservoir
2.14.2 bassins de rétention
2.14.3 Chaussée réservoir
2.14.4 Puits d'infiltration
2.14.5 Tranchée drainante
2.14.6 Noues
3 DIMENSIONNEMENT DES RESEAUX
3.1 CALCUL DES DEBITS
3.1.1 Les débits de temps sec
3.1.2 Les débits de temps de pluie
3.2 LES COLLECTEURS
3.2.1 Dimensionnement des canalisations à pleine section
3.2.2 Evaluation de la hauteur normale
3.2.3 Prise en compte de l’air piégé dans les réseaux enterrés : modèle de Lautrich
3.2.4 prise en compte des conditions d’écoulement
3.2.5 Les écoulements aérés
3.2.6 L’autocurage
3.2.7 Proposition d’une Méthode de dimensionnement globale
3.2.8 Annexes
3.3 LES DEVERSOIRS D'ORAGES
3.3.1 Conception – dimensionnement .
3.3.2 Dimensionnement des déversoirs
3.3.3 Formule d’orifices
3.3.4 Formules de leaping weir
3.3.5 Formules de déversoir à crête
3.4 LES OUVRAGES DE STOCKAGE : LES BASSINS
3.4.1 Méthode des pluies
3.4.2 Méthode des volumes
3.4.3 Méthode de la pluie critique
3.4.4 méthode IT 77
3.4.5 méthode Agence de l’Eau Rhin‐Meuse
3.4.6 Dispositions constructives
3.5 LES STATIONS DE POMPAGES
3.5.1 Volume utile de la bâche de reprise
3.5.2 Prévision qualitative de la production H2S
3.6 LES DECANTEURS
3.6.1 Dimensionnement
3.6.2 Vitesse de chute des particules en suspension
4 LA MODELISATION
4.1 MODELISATION : CONCEPTS, APPROCHES, ET ETAPES
4.1.1 Les modèles
4.1.2 Les différents types de modèles
4.1.3 Les problèmes à résoudre
4.1.4 Etapes méthodologiques
4.2 PRISE EN COMPTE DES DONNEES
4.2.1 Origine et types de données du site
4.2.2 Les données « mesurées » événementielles
4.3 LES PRINCIPAUX PHENOMENES
4.3.1 La modélisation hydrologique
4.3.2 La modélisation hydraulique
4.4 SCHEMATISATION, CALAGE, VALIDATION ET EXPLOITATION
4.4.1 Schématisation préalable
4.4.2 Critères de comparaison
4.4.3 Le calage
4.4.4 La validation
5 SOMMAIRE DETAILLE

Téléchargement PDF





Attendez 30 sec

Continuer la lecture


Advertising